Waterloo 1815 [63 - 45] Waterloo 2001

Quart-temps : 23-10, 17-8, 13-17, 10-10.

WATERLOO 1815 : Baudoux 11-2 (2x3), Wolteche 0-2, Vancauwenberghe 11-7 (1x3), Mees 0-0, Janssens 0-2, Avenel 7-0 (2x3), Ferreira 1-1, Marchand 0-4, Bevaux 8-3, Romanus 0-1, Leto 4-1.

WATERLOO 2001 : Debluts 8-7 (2x3), Decarita 5-0, Vandenhouwelle 0-0, Goutiez 0-2, Verbiest 0-6, Debaele 3-6, Bosman 0-2, Peeters 0-2, Vermeulen 2-0, Chantraine 0-2.

On a fait la fête durant une bonne partie de la nuit de samedi à dimanche dans les rangs du Waterloo 1815. L'équipe de Philippe Desprets a remporté le titre en P2 grâce à un succès facile face à son voisin waterlootois 2001. « On n'a pas toujours très bien joué au basket car les joueurs étaient un peu stressés par l'enjeu, explique le coach de Waterloo 1815. On a pourtant réalisé une bonne première mi-temps lors de laquelle notre jeu était posé et où on a bien défendu. Cette victoire est logique même s'il nous manque vingt ou trente points au marquoir. » Un peu nerveux par moments, les visités ne furent jamais mis en difficultés et se creusaient déjà un bel avantage en début de rencontre (9-2 après trois minutes). La précision à distance de Vincent Avenel permettait à ses couleurs de virer largement en tête (23-10) à l'issue des dix premières minutes. Les jeux étaient faits.

Une première période qui se révéla plus difficile pour les visiteurs (seulement dix-huit points inscrits) qui se montrèrent entreprenants mais qui, en plus d'être trop faibles au rebond, ne purent compter sur la réussite dans leurs shoots.

« On a souvent été malheureux dans nos tentatives, mais est on tout de même parvenu à limiter le score à 65 points face à un adversaire plus fort que nous », lâchait ironiquement Serge Scheers à l'issue de la rencontre.

Waterloo 2001 opposait davantage de résistance après la pause sans jamais parvenir à inquiéter le futur champion, même si l'écart retombait à quinze points à moins de deux minutes de la fin. Un dernier panier à trois points de Nicolas Vancauwenberghe clôturait une saison pleine pour Waterloo 1815. « Notre adversaire n'a pas eu de réussite mais ils ont eu le mérite d'être agressifs et de ne pas nous faire de cadeau, poursuit Philippe Desprets. Le plus important pour nous est que la victoire était au bout et que nous n'ayons jamais été menacés. Je suis très fier de mes joueurs car, pour la plupart, c'est la première fois qu'ils fêtent un titre de champion. »